Body politics ou « my body is my country » interroge l’échelle des corps, la création et l’inscription d’identités individuelles ou de groupe dans la sphère urbaine / publique. Il s’agit ici de questions d’apparences, de « sape », de « dress up », qui ouvrent sur des questions de genre, d’appropriation et de métissages des codes culturels, vestimentaires, gestuels, musicaux…
Body politics, or « my body is my country » interrogate the scale of bodies, the creation and inscription of individual or group identities in the urban / public sphere. It is about appearances, sape, dress up, and it opens on issues (questions) around gender, appropriation and crossbreeding of cultural, fashion, gestural and musical codes.
Asef Bayat, Life as politics, how ordinary people change the middle east, Stanford university press, Stanford California 2010. » As present agents in the public space, the young recognize shared identity by noticing (seing) collective symbols inscribed, for instance, in styles (T-shirts, blue jeans, hairstyle), types of activities (attending particular concerts and music stores, and hanging […]
Dick Hebdige, Sous cultures, le sens du style, de Zones. This text tasks important issues, as it articulates the notion of culture with the sub-culture through the notion (coming from Gramsci) of hegemony, and specify the questions related to intentional communication (in link with Barthes), through style. With the intention to « put under light the […]
Sarah Nuttall, Liberté de style, in Politiques Africaines n°100, p263. « Ces changements en termes de langue et de cadre de référence remettent en question les notions de lieu et de public. Ils nous montrent que « le monde » apparaît de plus en plus comme une série de fragments, de miettes que la jeunesse saisit au passage. […]
« Ce que la globalisation rend possible, c’est précisément la possibilité de subjectivation des particularités. Qu’est-ce en effet qu’être soi à l’age de la globalisation, sinon de pouvoir revendiquer librement telle ou telle particularité – la reconnaissance de ce qui, dans une nation qui nous est commune, voire le monde qui nous est commun, me rend […]