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Séminaire 18 janv 2012
avec AbdouMaliq Simone

AbdouMaliq-SimoneW

Une rencontre d’une journée avec AbdouMaliq Simone et Dominique Malaquais.

 

 

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Notes par Jc Lanquetin (nb : ces notes sont brutes, non corrigées > Document de travail mélangeant anglais et français).

 

Je parlerai de Djakarta, ville où je vis actuellement.

Les villes, partout sont pleines de fantômes.

Une sorte particulière de fantômes. A Dj les fantômes c’est la majorité. C’est le cas dans bcp des villes du global south. Ghostly presence de la majorité. En termes de théorie urbaine on sait bcp des pauvres, des nouvelles middle class, comment ils opèrent, qui ils sont, mais on sait pas grand chose de ce qu’il y a entre deux. Les entre deux, sont les conducteurs, police, nurses, bureaucrates… Salaire jamais assez, ancrage pas assez solide… Ils essayent de se faire une vie urbaine viable, mais on ne sait pas grand chose de qui ils sont, ce qu’ils font… Ils ont été soustraits des conventionnelles représentations. > une présence fantôme.

C’est pas une majorité sociologique cohérente. C’est vraiment un objet fantôme. Il a une sorte de valeur heuristique. Ce qu’est une majorité qui n’en est pas et agit comme si elle en était une, en un sens. Sans avoir accès aux modalités usuelles de l’organisation politique.

Les pratiques qui sont celles de cette majorité.

Ca a beaucoup à voir avec la représentation de l’espace urbain. Sao Paulo, le centre n’est plus le lieu de résidence, domaine, lieu d’opération des in between. Ceux qui ont quitté ou été poussés du centre. Le centre devient le lieu de big mega projects, gentrification, etc.. mais ce n’est plus un lieu ou l’on peut opérer. Même les lieux mixés, de vie, etc. est relégué à un fantôme.

Montre des images de là où il vit dans le centre de Djakarta. L’aspect en soi est important pour ce qu’il va dire. Un quartier entouré par des large scale mega devpt super buildings. 300000 personnes. Projet pour comprendre l’histoire de ce quartier, comment ca a pu devenir ce que c’est, quelles dynamiques… Parle des histoires des gens qui essayent de faire quelque chose de différent de la situation dans laquelle ils sont. Histoire d’ajustements constants. Ce que la surface elle même produit. Ces histoires produit un monde, une plateforme, qui créé des possibles, des visibilités, des invisibilités, dans la manière d’être ensemble ou ne pas. Dans un tel quartier des usages très différents sont possibles. Il y a une densité, de parking, stocker, vivre, travailler… Ce n’est pas clair ce qui appartient à qui. Qui a le droit d’utiliser cette aire, cet objet… Ces choses deviennent visibles à ceux qui sont là. Mais ce n’est pas statique. Qui est inclus dans quel genre de scénario. Ca change tout le temps. C’est un messy environment, messy surface, mais le manque de clarté devient l’espace de renégociation permanente des usages et objectifs. Toutes ces scènes, espaces sont très proches les uns des autres. On peut voir différents matériaux, différentes histoires en cours dans le même bloc. Certains n’ont pas changé depuis 40 ans, d’autres changent tout le temps. Mélange d’anciens et de nouveaux projets. La question est, si on vit là, comment une telle hétérogénéité a t’elle pu être produite. Derrière, il y a les grands buildings, la nouvelle ville qui dévore le quartier, menace.

C’est comme un énorme camion plein de trucs, qu’il a déversés. Disent certaines personnes.

Métaphore intéressante mais pas assez accurate. Car ca suggère que quelqun avait une idée en tête, une certaine cohérence…

Ca a l’air messy, jumbled up. La problématique c’est que l’incapacité de ces trucs à marcher ensemble, elle devient un problème d’absence de good regulation. Il n’y a pas de plan, etc. Ca devient la problématique, mais c’est pas ce qu’il se passe ici, c’est pas le genre de dynamique qui a cours. Ce n’est pas la question de faire des pré plans, etc. C’est toujours un problème d’inadequate regulation, government.

Ici, des gens de partout, essayent de instanciate themselves, avec leurs vies, leurs idées de ce qui marche. Ca s’est structuré en lien avec ceux qui sont venus avant, et qui sont des points d’ancrage important. Questions ethniques par ex. Sense of belonging, point of ancrages in the city. Mais même si il y a ce point d’ancrage, les gens qu’on connaît, on est obligé avec, etc. si on regarde la généalogie de ce lien, on voit que ca a jamais été assez pour garantir un futur. Dans ces villes qui se sont rapidement développées, les gens essayent de s’établir, ce processus créé beaucoup d’incertitude, de turbulence. Et même si on a un job, c’est jamais assez pour garantir une stabilité au delà du moment. Il y a toujours un sens qu’il y a quelque chose à faire d’extra. Activité supplémentaire, quel effort supplémentaire. U had to do something extra que ce que ton job demande, obligations à la famille, etc. Pluralité d’efforts nécessaire.

Beaucoup d’efforts ne marchent pas. Montre un marché construit dans le quartier, mais personne ne loue.

 

La nuit ils bloquent les rues. Avec des gardes. Si on vit dans le quartier et rentre la nuit, les barrières sont partout. La raison dite, c’est pour protéger des vols de bagnoles. Mais quand on commence à parler avec les gens de ça, c’est aussi à propos des fantômes. Mais les fantômes peuvent sauter les barricades. Mais on veut faire un statement aux ghosts. Et cette question des fantômes est à propos du futur. Leur inquiétude à ces gens, c’est la concrétisation de leur statut, ils veulent vivre dans un eligible environment, matérialiser son élévation, tu finis dans les buildings middle class, tu quittes le quartier crowded, messiness.

 

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Déménager dans les quartiers gentrifiés, c’est vendu comme « move here and be part of the world ». Le sens, c’est que tu n’as plus à négocier le sense of your life.

 

Retour au q : ce que font les gens pour maintenir cette hétérogénéité dans le temps. Quelles pratiques. Si un tel q est le lieu de vie de la majorité des gens, que font ils, comment font ils ?

Ces relations qui seeking out the possib of making new kinds of possib. Les gens essayent d’ut toutes interactions pour faire qq ch de diff. Parle de tt ce qu’on peut tirer d’une interaction basique. Si on écoute les plus banales interactions, il y a souvent un sense of an appeal being made… Un champ de relation est ouvert, une plateforme ou les gens peuvent augmenter leurs infos, leurs possibilités.

Ca devient très important. Si les gens ont leurs ancrages, routines, croyances, mais les termes de cet ancrage ne sont jamais assez sur le long terme. D’ou ou vais je faire et avec qui quelque chose d’autre. Et souvent les opportunités viennent des interactions les plus banales. Du coup ca devient l’elsewhere.

 

Incremental : construction lente à partir d’un espace qu’ont les gens.

Je parle d’incremental dans un sens différent.

Ces increments, sont ut le plus souvent comme un signal de willingness, availabilty to work with others on something. Pas forcément quelque chose de précis. Ex : vendre des cigarettes devant la maison, mais en faisant cela c’est un signal que je suis prêt à faire quelque chose. Et d’autres font de même. Le changement vient du fait que je signale que je suis prêt à faire quelque chose de différent. Alors comment peut on utiliser our mutual willingness. La notion d’increment, ce n’est pas le long term plan, c’est keep moving, signal willingness to work with others to do something.

C’est pas anticipé, mais si tu le fais tu as bougé. C’est pas forcément pour toujours.

Ces questions sont le produit de ca, leur aspect, lié à la volonté des gens de tenter constamment qq ch de nouveau.

Les gens qui vivent dans des environnements très denses et qui veulent changer leur situation, dans un environnement où tout le monde veut faire pareil. Même si j’ai une idée, c’est toujours en confrontation avec d’autres. Que faire ? Souvent il y a des conflits. Mais pas seulement. Mais ce qui est intéressant c’est comment les gens sont en constant process d’adaptation. Tu fais, je fais, je regarde, je m’adapte. On essaye d’être complémentaires, pour y parvenir tous deux. Ces environnements sont toujours un process of give and take. Adjustments. D’ou un q qui est la production de tous ces ajustements. Coexistence.

 

La pluralité de ces espaces, si on la regarde, il y a l’histoire de faire bien les choses. Il y a toujours des choses à faire. Mais c’est à un certain niveau, c’est unworkable. Si quelqu’un un essaye de faire un truc de plus dans un tel environnement, ca devient unworkable. Trop de demandes, de conflits… Mais cette unworkabilité, c’est la condition à laquelle les choses fonctionnent. Ca devient l’occasion pour que les gens fassent des choses ensemble. Dealer avec l’unworkability de la situation. Toujours quelque chose à réparer, anticiper, etc. Pas de solution pré conçue. Si tu regardes à qui deale avec ces problèmes, le team est toujours changeant. Diff kind of people involved. Ca ouvre des possibles.

 

On a besoin dans nos vies de relations qui ne sont pas obligées.

Experimental relationship.

Des relations qui catapultent ailleurs. Et pas relation qui sont là pour toujours. Trouver quelque chose que tu connais pas. Une valeur essentielle, le sens de mobilité. Mouvement. Pas physique, mais sens du mouvement dans la vie, ne pas stand still. Etre on the move. Il est rendu possible par des relations expérimentale. Utiliser le every day, le banal mais aussi the very kind of tensions, volatibility qui viennent du quartier, de ce tu whitness ds le q.

 

Ca devient un ongoing dilema. Comment les gens s’utilisent les uns les autres. Grande proxim entre middle class, not so middle class, workers, not well workers, poors… catég imprécises, mais il y a clairement des différences. Ces acointances, que veulent elles dire, que produisent elles ? Les manières dont les gens sont en relation st la plupart du temps pas très fair. La notion de fairness n’est pas tj présente > ethical dilemas.

Hétérogénéité des manières de faire produit une tentation de régularisation des activités, qui est dangereuse pour le q de continuer ce qu’il fait.

 

Eligibilité.

Notion centrale du devenir middle class. Eligible pour occuper le futur. Notion qui détruit bcp de choses. L’eligibilité ne joue aucun rôle dans les quartiers dans la manière dont on est en relation. Elle est dévaluée. Les gens qui veulent quitter le q pour un q éligible, mais savent en m temps qu’ils s’endettent, perdent de la qualité de vie, etc.

 

Pratiques artistiques qui vont aller contre cette logique d’éligibilité. Les spectacles vont servir à se montrer dans des domaines de vie ou autrement on est pas éligible.

F : they are new punks. No future.

Bernard : tu ne prononces jamais le mot culture ce qui ouvre bcp de questions.

Practical issue qui vaudrait pour bien d’autres endroits.

Ghost comme clef théorique.

Le spectral est une manière de configurer une vacance qui ne devrait plus etre ressentie. Qq ch qui n’est pas résolu, adequately remembered, worked out : ce « not yet » est matérialisé, et la manière de le faire c’est la place du fantôme.

 

Ghostlight capacity, refus collectif d’occuper un espace de possibles… de faire que les choses soient possibles collectivement dans un meilleur sens pour tous.

 

Anxiété et culpapilité of disantangling, très complexes relations de la vq. Sens du disantangling of their relationships, spectral left behind dans leurs relations quotidiennes.

 

Ghost as colonial memory, ghost of all of those that were brutalised (les dutch ont été très violents). Violence qui n’a jamais été nommée adéquatement. Guilt, absence…

 

Différents niveaux de « ghost »

Développe sur le fait que les régimes autoritaires juste après l’époque coloniale (Suharto) n’ont pas permis l’autonomie, l’indépendance nécessaire pour dépasser le moment colonial.

 

Idem des expressions artistiques.

 

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Qui domine l’imagination (dans la ville) ?

Djakarta, une ville ou des lieux comme cela existent toujours, ce qui permet de penser de la ville dans un sens alternatif.

 

Q : peut on avoir une telle dynamique dans une ville qui est très organisée, où il y a beaucoup d’infrastructures.

AS : explique que ces q produisent du travail. C’est ce qu’il explique au gouverneur. Mais il parle de ces quartiers comme une structure qui n’aurait pas d’histoire et de mémoire, et qu’on pourrait transplanter ailleurs. C’est la difficulté quand des architectes, urban planners voient un q comme celui-là. Parle de Dharavi in Mumbai, un « slum », mais plein d’entreprises, très productif économiquement (1 milliard de dollars / an). Depuis des années il y a des plans pour déplacer ce quartier car il est au centre de M. Construire là des low cost rés towers  avec une part pour les hab. Transformer l’économie de la rue, en tours. Qu’est ce qui est aussi imp à propos de la rue. Ca néglige ce qu’est la rue, son champ de visibilité, de se déplacer d’un endroit à l’autre, de voir ce que font les autres… C’est diff de transférer cela en une autre situation. C’est pas impossible, Mais je suis pas sûr de la manière de faire cela, ca nécessite une autre compréhension de l’espace, et résiste à l’idée de plan. D’où interroge les possibles de nouvelles formes d’organisation.

L’effectivité du q de ce matin, c’est que rien n’est clos, rien n’est fini. Si je veux faire qq ch, rien ne va foutre en l’air l’ensemble, le q peut absorber ce que je vais faire. Ca montre la capacité d’absorber toutes sortes d’initiatives.

Le problème de ces quartiers de développement, c’est que le jeu est fini, tu ne peux plus rien faire.

Dans les q sociaux à Dj, les gens vont essayer de réarranger, mais les autorités pètent les câbles. Car pour eux c’est fini, ca marche. La clef, c’est l’organisation d’un événement qui permet une continuelle réadaptation.

 

DM : le cas des bâtiments de Joburg a un lien très particulier avec l’apartheid donc je suis pas sur que c’est un exemple.

AS : c’est important de pouvoir témoigner de comment ca marche avec le temps. Il revient sr le q et le fait qu’on voit d’où l’eau vient, ce qui n’est plus le cas dans les nouveaux bâtiments. On vide les toilettes mais on voit plus comment ca marche. Dans la rue, on a une zone de visibilité où tu as le sens de comment ce que tu fais est connecté aux autres personnes. Tu peux avoir la visibilité d’une série de choses concrètes. Le fait de lire, de voir ce que font les gens est des infos capitales, sens des choses, sens de la position des choses dans la ville élargie. Tu peux comprendre le désir que les choses soient organisées. Parle du centre de Joburg, il y a des couches d’agréments sur à qui appartient l’appart. Cette confusion amène les gens hors de responsabilité pour entretenir le bâtiment. C’est une situation insécurisante. Mais c’est super compensé de l’autre coté ou des développeurs font du low-cost, mais avec biometric entrée, tu peux pas inviter des guests… tu dois tout anticiper, tout est contrôlé, et les gens acceptent cela parce qu’ils viennent de l’inverse absolu. Tu perds le milieu, les solutions intermédiaires.

 

Pourquoi « surface » ? Les espaces sont la production de bcp d’efforts, idées, initiatives, conflits, accomodations… la production de ces process. C’est une ongoing history, révisions et changements, etc. Mais cela produit une surface visuelle, hétérogène. Sans clean lines, clean angles… Surface all over the place. Je veux dire que la surface exerce sont impact propre sur les capacités des gens qui prennent des initiatives, la surface a une autonomie, elle ne renforce pas un point de vue, une idéologie, elle est plurielle. Ce qui convient aux gens pour penser que plein de choses diff peuvent être faites, ca se retire et ca s’avance, pluralité de la surface = plateforme ou bcp est possible, ou les gens peuvent continuer à penser que bcp de choses sont possibles. C’est produit par une histoire complexe mais existe avec une autonomie qui a son propre impact, communiquant sont avalability to the continuously remade, redrawn. Il y a la notion de transgression, ou est le sens de l’impossible, il n’y en a pas. Dans les immeubles modernes, il y a une homogénéité forcée. L’homogénéité suggère qu’il y a peu d’intervenants. Dans le q tt le monde sait qu’il y a une multitude d’intervenants. Il n’y a pas d’authorship d’un processus particulier. C’est important d’être entouré par un tel environnement. Des fois c’est trop, ca demande bcp de boulot, ca peut être épuisant, mais j’insiste sur la viabilité de ces surfaces dans la ville.

L’espace serait les pratiques des gens, dis-je et les constructions sont juste de surfaces

M : L’espace se reconfigure le jour, la nuit, tout le temps, c’est aussi la chorégraphie des habitants comment ils vivent, in and out… les mouvements.

La surface c’est seulement le look.

 

Je parle des liens avec les termes artistiques :

 

Endurance : un quartier de Djakarta, très intense, difficile, beaucoup de gens différentes, énergies. C’est intéressant que les gens vont parler de d’où ils viennent. Comme une description de qui ils sont. Même des gens qui n’y vivent pas diront qu’ils sont de ces quartiers, et non de Djakarta. C’est la question de la citoyenneté comme disapointment. Mais ce qui est intéressant c’est la réponse que être citoyen de Dj c’est de l’endurance. Endurance, est diff de survivre. Survivre, tu défends un territoire particulier, tu réduis au mimimum, défensive position. Si tu observes ce que les gens font ensemble, l’endurance c’est un way of finding familiarity, à un niveau superficiel. Endurance, est un way je peux voir de la familiarité là ou pas de clair familiarité. C’est la constitution d’un pont, ça cherche pas le common term. Sans réelles catégories qui supportent ce pont, c’est une manière de voir dans les autres quelque chose au delà de ce que tu es habitué à voir. La citoyenneté est une division qui spécifie une ready made familiarity.

Endurance where familiarity est la production d’un pont, tu dois voir en qq chose qui n’est pas là, comment tu fais ça, c’est pas en termes sociologiques, c’est pas voisins, ethniques ou autres… Les categ sociologiques n’aident pas. Si cet acte de voir de la familiarité dans le non familier comme point critique de l’endurance, c’est dans la pratique esthétique (au sens de Rancière), d’où performatif, artistic way to imagine the bridge, comme quelque chose de possible, de concret. Endure the city, vivre à travers et avec en un viable way. C’est dans un sens of kindom artistic.

Create the ground d’une familiarité à travers cela. C’est au delà de se connaître, c’est la possibl de faire qq chose avec toi au delà, différent de ce qu’on a été capables de faire b4. C’est à nouveau l’extension de l’expérimentation, je dois faire qq ch avec toi mais en voyant qq chose de familier, et dans ce sens, collectively we endure all the kind of volatility of urban life. Et la pratique de cela réside dans une dimension artistique, réimaginer qui nous sommes.

 

(Un des ponts possibles, c’est une consonnance avec the west. Ce que tu manges, portes, manières d’agir.

Imaginer une participation à une wordliness, qui reste majoritairement le west. Mais c’est en même temps (Djakarta), il y a un sens que le west n’a pas d’importance. La somme des images venant des cultures asiatiques est énorme. Et donc le west s’éloigne en tant que tel devant un sentiment d’appartenir à un monde global constitué aussi par la chine).

 

Endurance producing imaginaries (Dominique reformule la chose ainsi).

 

Cities are full of ghosts_notes from Marie fricout



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